C’mon everybody... - Shepard Fairey (OBEY)
Shepard Fairey (OBEY)
C’mon everybody..., 2016
Sérigraphie
61 × 46 cm
Ed. 326/ 450
Photos : © Tous droits réservés
Shepard Fairey (OBEY)
C’mon everybody..., 2016
Sérigraphie
61 × 46 cm
Ed. 326/ 450
Photos : © Tous droits réservés
Shepard Fairey (OBEY)
C’mon everybody..., 2016
Sérigraphie
61 × 46 cm
Ed. 326/ 450
Photos : © Tous droits réservés
A propos de l'œuvre : Mélangeant l’esthétique d’une affiche publicitaire vintage américaine et celle d’une pochette de vinyle, Shepard Fairey représente une jeune fille assise sur le sol de sa chambre, absorbée par la musique. La composition est simplifiée, évoquant une vision idéalisée de l’adolescence, où la musique occupe une place centrale. Pourtant, si le spectateur s’approche de l'œuvre, il peut y reconnaître la veste en cuir et le collier cadenas de Sid Vicious, bassiste du célèbre groupe de rock, Les Sex Pistols. En effet, le titre, référence à la chanson écrite par Jerry Capehart et Eddie Cochran en 1958, aussi interprétée par Sid. Shepard évoque le thème de provocation innocente, ou d’innocente provocation, à l’image des paroles de “C’mon everybody…”.
A propos de l’artiste : Artiste américain, né en 1970. Vit et travaille à Los Angeles (USA). Muraliste, illustrateur, sérigraphiste, Shepard Fairey (Obey) est l’un des artistes les plus influents de l’art urbain. Influencé par Andy Warhol, Barbara Kruger ou encore Diego Rivera, il est notamment connu pour le portrait HOPE de Barack Obama qu’il réalise pour sa campagne présidentielle en 2008 et qui a depuis été acquise par le National Portrait Gallery (Washington, USA). A la suite des attentats du 13 novembre 2015 en France, Shepard Fairey réalise une Marianne avec la devise « Liberté, Égalité, Fraternité », une œuvre aujourd’hui devenue un symbole national et exposée au palais de l’Élysée. En 2019, il réalise sa centième fresque place Igor Stravinsky à Paris à côté du Centre Pompidou. A la renommée internationale, Shepard Fairey est présent dans les collections du Smithsonian (Washington, USA), du musée d’art Moderne de New-York (USA), du Victoria and Albert Museum (Londres, Royaume-Uni). Il a également exposé dans des lieux prestigieux comme la Fondation Cartier lors de l’exposition « Né dans la rue - Graffiti » en 2009 ou encore à l’Institute of Contemporary Art de Boston (USA) où sa rétrospective « Supply & Demand » était organisée en 2009.
Avis de l’expert : Cette œuvre célèbre la jeunesse et la musique, tout en restant fidèle au style distinctif de Shepard Fairey.