Les énergies positives - Adokou Sanaa Kokouvi
Adokou Sanaa Kokouvi
Les énergies positives, 2020
Acrylique et pigments sur toile
100 x 100 cm
Photos : © Tous droits réservés
Adokou Sanaa Kokouvi
Les énergies positives, 2020
Acrylique et pigments sur toile
100 x 100 cm
Photos : © Tous droits réservés
Adokou Sanaa Kokouvi
Les énergies positives, 2020
Acrylique et pigments sur toile
100 x 100 cm
Photos : © Tous droits réservés
À propos de l’œuvre : Au centre de l'œuvre se détachent deux personnages en dialogue, dont les visages sont situés au-dessus d’une ligne d’horizon qui sépare l’arrière-plan en deux. Si la partie supérieure est constituée d'un jaune clair lumineux, la partie inférieure présente un sol sombre et grouillant sur lequel on distingue deux portraits. Ils semblent exister en négatif des deux premiers personnages et servent à illustrer leur monde intérieur. La figure de droite est auréolée d’un soleil qui rompt avec les tons sombres du fond. Le contraste entre les couleurs rappelle l’idée d’énergies positives et négatives qui se rencontrent. La figure lumineuse qui prend ici le dessus en débordant de son cadre constitue un message d'espoir contre les forces menaçantes et négatives qui hantent le reste de la composition.
À propos de l’artiste : Né en 1984 à Lomé (Togo), Adokou Sanaa Kokouvi vit et travaille aujourd’hui au Burkina Faso (Ouagadougou) depuis 2010. L’artiste commence son aventure artistique en 2003, se formant à la peinture, au dessin, à la calligraphie et puise son inspiration dans la peinture de Jean-Michel Basquiat et la culture africaine. Sa pratique met en scène les délaissés de la société burkinabé et travaille à rétablir les liens entre les hommes. Fortement salué en Afrique, l’artiste gagne la scène européenne et a notamment participé à plusieurs expositions collectives en France.
Avis de l’expert : Puisant son inspiration dans l'œuvre du néo-expressionniste Jean-Michel Basquiat et dans le réservoir de formes que constitue l'art africain, cette œuvre est tout à fait représentative du travail d'Abokou Sanaa Kokouvi.