Power and glory ' merica - Shepard Fairey (OBEY)
Shepard Fairey (OBEY)
Power and glory ' merica, 2016
Sérigraphie sur papier
61 x 46 cm
Ed. /450
Photos : ©️ Tous droits réservés
Shepard Fairey (OBEY)
Power and glory ' merica, 2016
Sérigraphie sur papier
61 x 46 cm
Ed. /450
Photos : ©️ Tous droits réservés
Shepard Fairey (OBEY)
Power and glory ' merica, 2016
Sérigraphie sur papier
61 x 46 cm
Ed. /450
Photos : ©️ Tous droits réservés
À propos de l’oeuvre : Le drapeau américain rouge et bleu, sur lequel est superposé une calavera, tête de mort mexicaine typique, aux contours noirs, ancre le contraste culturel et le décalage plastique. Les traits constituant la figure sont en réalité un assemblage réfléchi de symbole ironisant la puissance américaine : dollars, barils de pétrole, avions de guerre, caméras de surveillance, le tout dans une parfaite symétrie verticale. Ici, Shepard Fairey met en avant le contexte géopolitique américain, en dénonçant le contrôle excessif des Etats-Unis.
À propos de l’artiste : Artiste américain, né en 1970. Vit et travaille à Los Angeles (USA). Muraliste, illustrateur, sérigraphiste, Shepard Fairey (Obey) est l’un des artistes les plus influents de l’art urbain. Influencé par Andy Warhol, Barbara Kruger ou encore Diego Rivera, il est notamment connu pour le portrait HOPE de Barack Obama qu’il réalise pour sa campagne présidentielle en 2008 et qui a depuis été acquise par le National Portrait Gallery (Washington, USA). A la suite des attentats du 13 novembre 2015 en France, Shepard Fairey réalise une Marianne avec la devise « Liberté, Égalité, Fraternité », une œuvre aujourd’hui devenue un symbole national et exposée au palais de l’Élysée. En 2019, il réalise sa centième fresque place Igor Stravinsky à Paris à côté du Centre Pompidou. A la renommée internationale, Shepard Fairey est présent dans les collections du Smithsonian (Washington, USA), du musée d’art Moderne de New-York (USA), du Victoria and Albert Museum (Londres, Royaume-Uni). Il a également exposé dans des lieux prestigieux comme la Fondation Cartier lors de l’exposition « Né dans la rue - Graffiti » en 2009 ou encore à l’Institute of Contemporary Art de Boston (USA) où sa rétrospective « Supply & Demand » était organisée en 2009.
Avis de l’expert : Cette œuvre reprend une esthétique emblématique de Shepard Fairey, en délivrant un message fort sur ses convictions.